Née du refus par quelques artistes de la disparition d’un patrimoine technique et artisanal, l’URDLA n’en finit pas de réinventer sa modernité en préservant une tradition. Devenue Centre international de l’estampe, son développement se poursuit sans ignorer les crises qu’affronte la création actuelle. C’est que son ambition lui assigne d’être en premier lieu un outil d’analyse et de réflexion pratique sur l’art en train de naître et sur sa diffusion immédiate dans le tissu vivant de la cité.